Le "noyau vital" ou les centres de vie de Buc (mise à jour 20 sept 2008)
Nous définissons le « noyau vital » comme l’essence de notre ville où se déroule la vie sociale, où tous les âges se rencontrent et se côtoient, où les Bucois les plus fragiles – enfants et personnes âgées - doivent pouvoir se déplacer sans risque et sans crainte...
Le noyau vital de notre ville de Buc comprend tout le périmètre des déplacements quotidiens des Bucois, enfants et adultes, entre les zones résidentielles et les quatre complexes scolaires, la Mairie, la Poste et l’Eglise, le parc du Château et l’école de musique, les commerces, services et les restaurants, les bibliothèques et le Centre culturel des Arcades, le Gymnase du Pré-St-Jean et le stade Dufranne....
Photo en bas: le "noyau vital" à Buc autrefois; la circulation douce permet de recréer une telle ambiance... à nous de la proumouvoir !
Ce noyau vital mérite d’être préservé autant que possible de la circulation automobile à grande vitesse. Pour une vraie politique de la circulation douce, il faut une vraie prise en compte et des actions concrètes et cohérentes. Nos Contributions à un Schéma directeur indiquent clairement ce qu’on peut faire pour répondre aux besoins des utilisateurs.
Pouvoir aller à pied ou à vélo n’importe où dans une commune comme Buc, c'est un besoin fondamental. Les trajets doivent être sécurisés, confortables et continus, formant des trajets utiles, et utilisés, formant un réseau qui correspond au « noyau vital » de notre ville. Voir aussi FAQ question 17
Le plan ci-après est une des contributions au Schéma directeur; il permet de visualiser le noyau vital de Buc ainsi que l'artère de transit automobile en bleu: avenue Quatremare - avenue Guynemer (est-ouest) et rue Louis Blériot (nord-sud).
Traffic Zone - Social Zone
Hans Monderman distingue deux zones, la zone de circulation (les axes routiers) et la zone sociale ( notre "noyau vital" à Buc) qui sont soit des aires piétonnes, soit des zones de rencontre (ou shared space), soit des zones 30.
Dans la zone sociale, la vie locale et les modes doux sont à privilégier par rapport au "routier" dans les aménagements.
